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O m'en vais digouiner de bénaise avec le bec croisé que je te cisticole du roseau bénaise. Derrière la statue prolifique, l'é aperçu le grimpereau des jardins dans la bouscari polyglotte. L'é aperçu mais l'é rien dit. L'é aperçu mais l'é gareté et le regar'terais encore si besoin. Bénaise. La Rapitossière de la Clissorinière ye peux pas la piffrer. Pas la piffrer, pas l'encadrer. Et l'o dit pas à la légère. A Ragounite l'o préfère. L'o ai toujours préféré. Quand le canal de la vieille Autise a dépassé o castrole do soupe à Bounouche, je décidai avec furtivité délicate de gareter o goise de garlapia dodu, et de délivrer de la fange une gangue tout à fait rabelaisienne. N'est-ce pas. La jingaille do Bourriche inturbollaire, a l'est frète mais a s'laissera pas facilement mise sous clé. Et la France lé pas la France o français. Cé qu'lo français l'é pas trouvé, et l'o trouverai pas dans la souche. A pas d'souche la Rapitossière. Et les mouettes de Yarel, avec parcimonie mais régularité, l'arrive qu'une fièvre de roseaux les subjugue, et faut les voir, alors, penser à Blaise, bon aise, ou à Basile, o cousin. Lé jamais lu et lé jamais vu, mais enfin yo sé qu'l'erreur cé comme la vérité, lé p'têt pas dans l'jardin d'à côté et lé p'têt pas non plus au-delà des Pyrénées. Bon aise.

Ne pas se fier aux dates
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